La Krisis est le testament de Husserl. Cela seul suffit à en assurer l'importance, du point de vue des husserliennes. En lui ne se termine pas seulement l'histoire de l'entreprise phénoménologique, commencée un tiers de siècle plus tôt, ni seulement (du même coup) l'histoire de la phiosophie occidentale moderne - cette odyssée du Savoir dans le retour au Soi. En lui s'achève également le destin qui gouverne cette histoire.